30 avr. 2007

jardin

photographe

arche

cour du cheval blanc

château Fontainebleau

dentelle

balcon

27 avr. 2007

pigeon parisien

parasol seul

parasols

st Germain l'auxerrois

quai

seine & Louvre

ma robe préférée

25 avr. 2007

grenouille rouge!

robe de mariée

monstres?

la petite bête qui monte, qui monte...

c'est ça l'amour?

23 avr. 2007

Rue de Solfèrino...0h50

Rue de Solfèrino... 0h40
ballon

actualité oblige!

16 avr. 2007

Bonjour,

je voulais remercier le musée Elysée à Lausane pour la présentation de mes photos!
Elles ont été montrées sous forme de diapo mais elles ont aussi été tirées et font maintenant partie du fond du musée!

si vous voulez aussi participer je vous donne le lien le plus direct:
http://www.tousphotographes.ch/form.php

13 avr. 2007

passerelle

sortie?

Tardi au PC

7 avr. 2007

louvre

1 avr. 2007

La photographie 1880 1900

C’est l’époque de l’instantané, du pictorialisme mais aussi un grand moment de création de nouvelles catégories d’images. UN nouveau rapport homme/image image/homme s’installe.

La technique photographique pilote les changements qui vont affecter les images. Le dispositif est uniquement sensible à la lumière. Il y a photographie à partir du moment où il y a sur une surface sensible, action de la lumière, obtention d’effets différentiels et gestion de ces effets jusqu'à la permanence visuellement perceptible. Le dispositif gère les possibilités de la surface sensible.

La photographie en 1880 : le gélatino-bromure d’argent

Avant cette invention on pratiquait la photo sur plaques de verre sensibilisées à l’albumine ou au collodion aux quels on ajoutait des sels d’argent pour rendre les surfaces sensibles. Le bromure était connu depuis 1871, mélangé à une substance gélatineuse il adhère facilement à la plaque de verre mais n’était pas utilisé à cause de sa faible sensibilité.
Benett eu l’idée de chauffer le bromure à 32°C dans de la gélatine pendant plusieurs jours, ce qui eu pour effet de le rendre beaucoup plus sensible. Le temps de pose est divisé par 100, dès 1881 1882 on peut photographier à 1 centième de seconde.
De plus ce procédé est sec ce qui permet la conservation et le transport des plaques sensibilisées. Le négatif papier, l’albumine ou le collodion étaient des procédés humides, il fallait donc sensibiliser la plaque juste avant de prendre la photographie ce qui implique le transport des produits, d’une cabine pour se protéger de la lumière etc. Le gélatino-bromure d’argent étant un procédé sec il est donc possible de le produire de manière industrielle, ce qui conduira à la standardisation des formats des plaques mais aussi des appareils…

Les avantages et les inconvénients du gélatino-bromure d’argent sec

1882 production industrielle par les frères lumières, 1889 standardisation des formats
_plaque prête à l’emplois
_la chambre noire n’a plus besoin d’être stable, appareils à mains plus petits liés aux formats des plaques
_réduction du temps de pose, invention de petits appareils pour mesurer ce temps de pose, fabriquer des appareils qui sachent gérer ce temps de pose.
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